JOBERT Marlène

De Encyclopédie-de-L'AFN_1830-1962
Révision datée du 28 janvier 2008 à 11:49 par MORGANA (discussion | contributions) (forme)
(diff) ← Version précédente | Voir la version actuelle (diff) | Version suivante → (diff)


Back.pngRevenir

Marlène JOBERT


Titre : '

Grade :'


Date de Naissance : 4 Novembre 1943

Lieu de Naissance : Alger

Pays de Naissance : Algérie


Date de décès :

Lieu de décès :

Pays de décès :


Présentation :
Née en Algérie, exode en métropole en 1962.
  • Elle étudie le dessin puis la comédie au Conservatoire de Dijon avant de monter sur la capitale pour suivre les cours de la rue Blanche et ceux de Georges Chamarat au Conservatoire de Paris.
  • C'est la pièce de théâtre « Des clowns par milliers » qui révèle la comédienne aux côtés d'Yves Montand. Au cinéma, c'est Jean-Luc Godard qui lui donne sa chance en l'engageant sur le tournage de « Masculin-féminin » en 1966.
  • Parallèlement à une carrière télévisuelle assez riche (Par quatre chemins, Rue barrée, Les Chevaliers du ciel, Les Dossiers de l'agence O), elle s'illustre dans quelques comédies sympathiques comme « Alexandre le Bienheureux » (1967) et « Faut pas prendre les enfants du Bon Dieu pour des canards sauvages » (1968), avant d'accéder à la célébrité en dévoilant ses charmes à Charles Bronson dans « Le Passager de la pluie » (1969) de René Clément.
  • Donnant la réplique à des monstres sacrés américains comme Kirk Douglas dans La « Poudre d'escampette » (1971) et Orson Welles dans « La Décade prodigieuse », la belle aux taches de rousseur imprègne de sa fraîcheur « Les Mariés de l'an II » et le drame sentimental « Nous ne vieillirons pas ensemble » (1972) de Maurice Pialat.
  • Créatrice de sa propre société de production MJ, elle participe activement au développement de deux films qu'elle interprète en 1974 « Juliette et Juliette » et « Pas si méchant que ça ». Prolifique jusqu'à la fin des années 70, elle enchaîne les rôles de jeune femme tantôt entraîneuse (Le Bon et les méchants), tantôt amoureuse (Va voir maman, papa travaille), tantôt envahissante (Julie pot de colle), tantôt casse-cou (La Guerre des polices).
  • Marlène Jobert entame les années 80 avec « L'Amour nu » (1981), un mélodrame où elle campe une femme atteinte d'un cancer, avant de se faire plus rare sur les écrans. Mise à part sa prestation remarquée de mère adoptive dans la comédie « Les Cigognes n'en font qu'à leur tête » (1988), l'actrice se montre davantage présente à la télévision, officiant notamment pour la série « Avocat d'office » (1994-1996). Elle se consacre parallèlement à une collection de contes musicaux destinés aux enfants de 5 à 8 ans.
Faits marquants : Dates importantes :
Contexte :