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297 habitants en 1881 et 515 en 1901, dont 319 français, 106 étrangers (des Européens), et 13 d'origine marocaine.  
297 habitants en 1881 et 515 en 1901, dont 319 français, 106 étrangers (des Européens), et 13 d'origine marocaine.  


Les terres sont alors inutilisables pour la culture, les unes complètement submergées en hiver et encore mouillées en été, les autres ne peuvent servir qu'aux cultures estivales. L'inondation laisse, en outre des sables stériles. Vers Aïn Fekan on découvre le « fred » (lac) d'El Kébir dont les eaux atteignent en hiver 1 m à 1,50 m de profondeur,
Les terres sont alors inutilisables pour la culture, les unes complètement submergées en hiver et encore mouillées en été, les autres ne peuvent servir qu'aux cultures estivales. L'inondation laisse, en outre des sables stériles. Vers Aïn Fekan on découvre le « fred » (lac) d'El Kébir dont les eaux atteignent en hiver 1 m à 1,50 m de profondeur.


Dés 1893, on s'attache au difficile problème du « drainage » des parties marécageuses. Au sud-ouest de la plaine on rectifie le lit de l'oued Froha et l'on creuse un canal de dérivation de 17 kilomètres vers l'oued Fekan.  
Dés 1893, on s'attache au difficile problème du « drainage » des parties marécageuses. Au Sud-ouest de la plaine on rectifie le lit de l'oued Froha et l'on creuse un canal de dérivation de 17 kilomètres vers l'oued Fekan.  


Ce n'est qu'en 1906 que l'on construit au Nord-Ouest un canal de 11 kilomètres drainant les eaux de l'oued Maoussa, des marais de Sidi Lahssen et des terres humides vers Tizi. En 1931,on aménage encore le lit de l'oued Fékan car chaque crue transforme de nombreux hectares en marécages.  
Ce n'est qu'en 1906 que l'on construit au Nord-Ouest un canal de 11 kilomètres drainant les eaux de l'oued Maoussa, des marais de Sidi Lahssen et des terres humides vers Tizi. En 1931,on aménage encore le lit de l'oued Fékan car chaque crue transforme de nombreux hectares en marécages.  


*Source : Site P.Rubira
*Source : Site P.Rubira
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Ain Fekan Nom actuel : ?

Historique

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Présence française

Commune mixte de Mascara sur l'Oued Fekan

Centre de colonisation

Sainte-Hippolyte = Aïn-Fekan, à une vingtaine de km au Sud-Ouest de Mascara.

Centre Créé en 1873.

Aux 2.138 ha ont été ajoutés 400 ha en 1894, divisés en 74 concessions agricoles et 11 lots industriels.

Sur les 40 familles d'origine européenne, dont 37 venant d'Alsace-Lorraine, seules 10 ont gardé leurs terres ainsi que 22 des 45 familles algériennes.

297 habitants en 1881 et 515 en 1901, dont 319 français, 106 étrangers (des Européens), et 13 d'origine marocaine.

Les terres sont alors inutilisables pour la culture, les unes complètement submergées en hiver et encore mouillées en été, les autres ne peuvent servir qu'aux cultures estivales. L'inondation laisse, en outre des sables stériles. Vers Aïn Fekan on découvre le « fred » (lac) d'El Kébir dont les eaux atteignent en hiver 1 m à 1,50 m de profondeur.

Dés 1893, on s'attache au difficile problème du « drainage » des parties marécageuses. Au Sud-ouest de la plaine on rectifie le lit de l'oued Froha et l'on creuse un canal de dérivation de 17 kilomètres vers l'oued Fekan.

Ce n'est qu'en 1906 que l'on construit au Nord-Ouest un canal de 11 kilomètres drainant les eaux de l'oued Maoussa, des marais de Sidi Lahssen et des terres humides vers Tizi. En 1931,on aménage encore le lit de l'oued Fékan car chaque crue transforme de nombreux hectares en marécages.

  • Source : Site P.Rubira