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Lors de l’antiquité, l’histoire de Carthage se confond avec celle de l’Afrique du Nord. Plus exactement l’histoire de l’Afrique (du Nord) est celle de Carthage.


''Louange à Dieu l'Unique, auquel retournent toutes choses!
A l’exception du siècle qui suivi sa destruction par les Romains, elle rayonna sur la région et même au-delà.


''Nous cédons à perpétuité à Sa Majesté le roi de France un emplacement dans la Malka, suffisant pour élever un monument religieux en l'honneur du roi Louis IX à l'endroit où ce prince est mort.''
[[Antiquité - Carthage|Punique]]  elle fut ensuite [[Antiquité - Afrique du Nord et empire romain|romaine]], puis [[Antiquité - Vandales|Vandale]] et enfin Byzantine.
Les envahisseurs arabes lui préfèreront le site de Tunis.  


''Nous nous engageons à respecter et à faire respecter ce monument consacré par le roi de France à la
De longs siècles en friches, elle ne renaîtra qu’à la fin du XIXe début du XXe sous l’impulsion de l’église catholique qui y installa la primatiale d’Afrique.
mémoire d'un de ses plus illustres aïeux.''
 
''Salut de la part du serviteur de Dieu,''  '''Hussein-Pacha-Bey.'''
 
''Que le Très-Haut lui soit favorable! Amen.''
 
''Le 17 de sefer de l'armée 1246. Fait au Bardo le 8 août 1830.''
 
''Au consul général Mathieu de Lesseps''
 
 
 
Hussein-bey donna au consul général Mathieu de Lesseps la faculté de déterminer l'emplacement et de prendre tout le terrain nécessaire. Le consul chargea son fils Jules de cette mission. Celui-ci, après avoir examiné attentivement les lieux, conclut que la chapelle devait être construite sur la colline de Byrsa, au centre de l'acropole punique, sur le temple d'Esculape Eschmoun. Louis-Philippe approuva ce projet et M. Germain, architecte, érigea le monument. Il le fit de proportions bien modestes et d'une architecture où se mêlent douteusement les styles gothique et byzantin. Il réussit, en tout cas, à lui donner l'aspect d'un riche [[marabout]] ce qui, parait-il, était son dessein, tout en rappelant la chapelle royale de Dreux. Une croix, il est vrai, la seule debout, à cette date, en Tunisie, surmontait l'édifice.
 
''La nouvelle église d'Afrique - Mgr A. PONS''
 
 
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Version du 10 mai 2005 à 09:38

Carthage

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TUNISIE

Carthage
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Lors de l’antiquité, l’histoire de Carthage se confond avec celle de l’Afrique du Nord. Plus exactement l’histoire de l’Afrique (du Nord) est celle de Carthage.

A l’exception du siècle qui suivi sa destruction par les Romains, elle rayonna sur la région et même au-delà.

Punique elle fut ensuite romaine, puis Vandale et enfin Byzantine. Les envahisseurs arabes lui préfèreront le site de Tunis.

De longs siècles en friches, elle ne renaîtra qu’à la fin du XIXe début du XXe sous l’impulsion de l’église catholique qui y installa la primatiale d’Afrique.

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