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Martimprey fait partie des centres de colonisation prévu par le décret du 13 septembre 1904 signé par le Gouverneur général Revoil.
Situé dans le département d’Oran à 87 kilomètres de Mascara, le territoire de la commune est à une altitude moyenne de 1100 mètres.
Il reçoit le nom de Martimprey en hommage au général comte Edmond Charles de Martimprey (1818/1883) qui fut chef d’Etat-Major du général de Bourmont, commandant la région d’Oran, gouverneur  de l’Algérie par intérim et gouverneur des invalides en 1867.
Le village était alimenté à partir de la source d’Ain el Haddad (la source de fer).
Les 22 concessions octroyées avaient une superficie de 45 à 46 hectares. Pour en bénéficier, les postulants devaient posséder un  pécule et s’engager à rester pendant 10 ans sur leurs terres.
Ces terres pierreuses et remplies de lentisques demandaient un travail énorme pour être cultivables. Peu fertiles, elles imposaient une mise en jachères incompatible avec la superficie insuffisante des concessions. La difficulté de la tâche rebuta  plus de la moitié des premiers pionniers.
La production agricole comprenait des céréales (blé et orge), de la vigne et l’élevage de bœufs , de chevaux et de moutons .

Version du 14 février 2006 à 15:24

Martimprey

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ALGERIE

Martimprey
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Martimprey fait partie des centres de colonisation prévu par le décret du 13 septembre 1904 signé par le Gouverneur général Revoil.

Situé dans le département d’Oran à 87 kilomètres de Mascara, le territoire de la commune est à une altitude moyenne de 1100 mètres.

Il reçoit le nom de Martimprey en hommage au général comte Edmond Charles de Martimprey (1818/1883) qui fut chef d’Etat-Major du général de Bourmont, commandant la région d’Oran, gouverneur de l’Algérie par intérim et gouverneur des invalides en 1867.

Le village était alimenté à partir de la source d’Ain el Haddad (la source de fer).

Les 22 concessions octroyées avaient une superficie de 45 à 46 hectares. Pour en bénéficier, les postulants devaient posséder un pécule et s’engager à rester pendant 10 ans sur leurs terres.

Ces terres pierreuses et remplies de lentisques demandaient un travail énorme pour être cultivables. Peu fertiles, elles imposaient une mise en jachères incompatible avec la superficie insuffisante des concessions. La difficulté de la tâche rebuta plus de la moitié des premiers pionniers.

La production agricole comprenait des céréales (blé et orge), de la vigne et l’élevage de bœufs , de chevaux et de moutons .