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Après son retour en Algérie, le [[1eRE]] est licencié par un décret du 14 décembre 1861, alors que ses unités sont réparties entre [[Philippeville]], [[Bougie]] et [[Constantine]]. Le 2eRE qui a regagné [[Sidi Bel-Abbès]],le 22 août 1859 récupère les officiers et les hommes du régiment frère, tout en conservant sa garnison. En mars 1862, il n'y a plus désormais qu'un seul régiment de Légion.
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* Colonel de SENILHES -  
* Colonel de SENILHES -  
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|actions= De 1842 à 1843, les expéditions en Kabylie et dans la province de Constantine se succèdent.
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Le 30 mai 1842, pendant qu'un colonne formée à partir des 6 compagnies d'élite du régiment se dirige vers [[Guelma]],pour en finir avec le Hassenaouï soutenu par l'ancien bey de [[Constantine]], 2000 guerriers rebelles attaquent [[Djidjelli]]tenu par le 1er bataillon du 2e Régiment. Les légionnaires repoussent plusieurs attaques d'envergure, jusqu'au mois de juillet, la garnison résiste à de nombreux assauts.
A [[Bougie]], le 2e bataillon supporte les plus rudes attaques à partir du 25 août 1842. Plus de 5000 fantassins et 600 cavaliers se portent sur les forts et les blockhaus qui entourent la ville. Les attaques frontales étant synonymes de pertes importantes, l'ennemi privilégie les actions de guérilla et harcèle les postes isolés et les convois de ravitaillement.
Au début de 1843, [[Bougie]] est toujours cernée. Deux sorties permettent néanmoins de rétablir la situation. Enfin, au mois de février, une expédition dirigée par le général Baraguey d'Hilliers et comprenant le 1er bataillon du 2e Régiment entraîne la soumission du pays des [[Zerdezas]].


'''[[M'Chounech]]''' - '''La victoire'''
Le 2e R.E est alors immédiatement engagé dans la pacification de l'ouest de la province de [[Constantine]],puis le 1er bataillon entre dans la composition d'une expédition contre les [[Hamenchas]]. La conquête se poursuit en 1844, marquée au début de l'année par la colonne du [[Duc d'Aumale]] dans [[l'Aures]] et la prise de [[Biskra]].


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Ce nouveau cantonnement appelé "Camp de Chasseurs", recevra les légionnaires dans une casrne quasiment neuve.
Ce nouveau cantonnement appelé "Camp de Chasseurs", recevra les légionnaires dans une caserne quasiment neuve.


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2e Régiment Etranger

Origine : Le 2e Régiment Etranger est formé à Bône le 1er avril 1841, où les 4e et 5e bataillons de la Nouvelle Légion étrangère (créée en 1836) sont regroupés. La compagnie hors-rang et les deux compagnies d'élite du 2e bataillon sont organisées le 21 avril. Le 3e bataillon quand à lui, sera formé le 26 mai avec le reste des hommes des deux autres bataillons. Après son retour en Algérie, le 1er RE est licencié par un décret du 14 décembre 1861, alors que ses unités sont réparties entre Philippeville, Bougie et Constantine. Le 2e RE qui a regagné Sidi Bel Abbès,le 22 août 1859 récupère les officiers et les hommes du régiment frère, tout en conservant sa garnison. En mars 1862, il n'y a plus désormais qu'un seul régiment de Légion.

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Création : 1841
Arrivée en Algérie : Avant l'indépendance, a toujours été en Algérie
Implantation : Bône, Bougie et Djidelli dès 1842. Saïda1886.
Actions/missions : De 1842 à 1843, les expéditions en Kabylie et dans la province de Constantine se succèdent. Composition :
  • Colonel de SENILHES -
  • 2240 hommes composent le 2e Régiment Etranger, qui vont alors s'implanter à
Commandements :

  • Colonel de SENILHES
  • Chef de bataillon NAYRAL
  • Général CANROBERT
  • Général PELISSIER
  • Colonel de CHABRIERES
  • Commandant MANGIN
  • Colonel HUGOT
  • Général Rollet: Le Père de la Légion
 Dissolution :

Le 2e Re prend le nom de Régiment étranger le 1er janvier 1862, qu'il conservera jusqu'au 13 mars 1875, date à laquelle le régiment devient Légion étrangère.

Partageant avec le 1er RE le Quartier de Sidi Bel-Abbès,le 2e RE est contraint de se trouver une garnison, son effectif rassemblant plus de 4000 hommes, il s'implantera à Saïda selon le souhait du Général Détrie, le 2 novembre 1886.

Ce nouveau cantonnement appelé "Camp de Chasseurs", recevra les légionnaires dans une caserne quasiment neuve.


Sur les traces du 2


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