« Régiments Parachutistes » : différence entre les versions
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*[[BIGEARD Marcel|le général Bigeard]] ancien et médiatique chef de corps du 6e bataillon de parachutistes coloniaux puis du 3e régiment de parachutistes coloniaux. | *[[BIGEARD Marcel|le général Bigeard]] ancien et médiatique chef de corps du 6e bataillon de parachutistes coloniaux puis du 3e régiment de parachutistes coloniaux. | ||
*[[COULET François|lieutenant-colonel Coulet]] 1956 à 1960, il redevient officier parachutiste en Algérie, il est nommé à la tête des Commandos parachutistes de l'air (CPA, créés pour la pacification en Algérie) puis, remplacé par le lieutenant-colonel Emery en 1960 car il n'était pas d'accord avec [[De GAULLE|de Gaulle]] sur la conduite à tenir en Algérie ;en mars 1960, directeur des affaires politiques de la délégation générale du gouvernement en Algérie. | *[[COULET François|lieutenant-colonel Coulet]] 1956 à 1960, il redevient officier parachutiste en Algérie, il est nommé à la tête des Commandos parachutistes de l'air (CPA, créés pour la pacification en Algérie) puis, remplacé par le lieutenant-colonel Emery en 1960 car il n'était pas d'accord avec [[De GAULLE|de Gaulle]] sur la conduite à tenir en Algérie ;en mars 1960, directeur des affaires politiques de la délégation générale du gouvernement en Algérie. | ||
*[[CHATEAU JOBERT|le colonel Chateau-Jobert]] créateur des écoles de Parachutisme Militaire,affecté à l’état-major de Cherbourg, il rejoint clandestinement l’Algérie et l’OAS. | |||
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Version du 27 juillet 2008 à 06:36
Généralités
La création des troupes aéroportées françaises date du 1er avril 1937, deux groupes sont mis sur pied : le 601ème GIA à Reims et le 602ème GIA à Baraki (Algérie).
L'instruction, révolutionnaire pour l'époque, est basée sur un entraînement physique poussé développant agressivité et initiative. En 1939, le problème de largage de matériel est résolu par l'emploi de gaines étudiées. Les hommes sont équipés d'armes légères.
C'est au milieu des drames et des déchirures de la seconde partie du 20ème siècle que sont nés les parachutistes français.
Véritables enfants du malheur de leur pays, voués aux missions les plus risquées et les plus insolites, ils ont été marqués, sans doute plus que d'autres, par cette tragique période, où la France tentait de reprendre son rang.
De 1940 à 1962, ils n'ont pratiquement pas cessé de combattre dans cet esprit, dans les circonstances et sous les cieux les plus divers.
Le parachutiste d'hier d'aujourd'hui ou de demain demeure un homme qui fait le même métier. C'est un homme d'audace, dont l'âme est héritière du passé, qui mène une vie exaltante et excitante et qui cultive des valeurs de générosité et de disponibilité. Il évolue dans un milieu tonique et dès le début, l'Ecole des troupes aéroportées procure aux hommes, outre une formation technique, des goûts essentiels qui leur resteront.
Le parachutiste est conscient du fait qu'il appartient à une troupe d'une nature particulière dont la valeur est certaine; il peut être fier de ce qu'il est et de ce qu'il fait.
Les unités parachutistes forment une composante majeure au sein des armées et de la Gendarmerie.
Rompues à toutes les types de combat qui pourraient être les siens elle se trouvent confrontées en permanence aux réalités du champ de bataille par leurs participations aux opérations extérieures ou par les exercices constants et adaptés en France et à l'étranger.
D'un entraînement solide et varié doit naître une extrême efficacité demandée par:
- Une disponibilité permanente
- Des interventions dans un délais restreint et sur un long rayon d'action.
- La participation à un combat de mêlée blindé.
- Des actions de commandos.
Les exigences imposées demande beaucoup d'efforts et de volonté, être parachutiste c'est d'abord une aventure "d'Hommes". Communication et détermination à tous les échelons de chaque femme ou homme parachutiste font naître l'efficacité du système.
Chaque homme est une sentinelle, écrivait Saint-Exupéry, et chaque sentinelle est responsable de l'empire tout entier.
Les Unités de paras
| Bataillons de Choc |
| 1er Bataillon de choc |
| 2ème Bataillon de choc |
| Troupes Coloniales et de Marine |
| Arme blindée et Cavalerie |
| Légion étrangère |
| Artillerie |
| Génie |
| Transmissions |
| Train et ravitaillement par air |
| Service du Matériel |
| Service de l'Intendance |
| Service de Santé |
| Unités autochtones |
| Commandos |
| Aviation légère |
| Armée de l'air |
| Marine Nationale |
| Gendarmerie Nationale |
Les paras célèbres
- le général Massu, général de l'armée française.
- le général Bigeard ancien et médiatique chef de corps du 6e bataillon de parachutistes coloniaux puis du 3e régiment de parachutistes coloniaux.
- lieutenant-colonel Coulet 1956 à 1960, il redevient officier parachutiste en Algérie, il est nommé à la tête des Commandos parachutistes de l'air (CPA, créés pour la pacification en Algérie) puis, remplacé par le lieutenant-colonel Emery en 1960 car il n'était pas d'accord avec de Gaulle sur la conduite à tenir en Algérie ;en mars 1960, directeur des affaires politiques de la délégation générale du gouvernement en Algérie.
- le colonel Chateau-Jobert créateur des écoles de Parachutisme Militaire,affecté à l’état-major de Cherbourg, il rejoint clandestinement l’Algérie et l’OAS.