« ROUTES » : différence entre les versions
De Encyclopédie-de-L'AFN_1830-1962
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Faute de pouvoir structuré pour en faire assurer l'entretien, les pistes devenaient impraticables par temps de pluie et quand elle était trop dégradée, il se créait progressivement une nouvelle piste parallèle à l'ancienne. | Faute de pouvoir structuré pour en faire assurer l'entretien, les pistes devenaient impraticables par temps de pluie et quand elle était trop dégradée, il se créait progressivement une nouvelle piste parallèle à l'ancienne. | ||
Introduite en Tunisie en 1856, l' | Introduite en Tunisie en 1856, l'arabat révolutionna le transport terrestre. Ses grandes roues passe-partout servaient de bras de levier le cas échéant pour la sortir des ornières. | ||
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<center>Une | <center>Une arabat sur la première route de Tunisie, entre Tunis et Le Bardo</center> |
Version du 12 avril 2005 à 18:34
Au début du dix neuvième siècle, il n'y avait pas de route en Afrique du Nord et les tribus sillonaient le territoire par des pistes dont certaines empruntaient encore les anciens tracés des voies romaines où subsistaient de vieux ponts, qui, quand ils étaient entretenus, l'étaient par les fondations religieuses des biens Habous.
Faute de pouvoir structuré pour en faire assurer l'entretien, les pistes devenaient impraticables par temps de pluie et quand elle était trop dégradée, il se créait progressivement une nouvelle piste parallèle à l'ancienne.
Introduite en Tunisie en 1856, l'arabat révolutionna le transport terrestre. Ses grandes roues passe-partout servaient de bras de levier le cas échéant pour la sortir des ornières.