« Historique Kolea - Ville » : différence entre les versions
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Détruite par les conquérants arabes, reconstruite en 1550 par les Maures chassés d’Andalousie, détruite en 1825 par un tremblement de terre et immédiatement reconstruite son nom en arabe veut dite « petit fort ».<br/> | |||
Conquise par les français le 25 septembre 1831 elle est érigée en commune de plein exercice par décret du 21 novembre 1851.<br/> | |||
En 1838, Lamoricère s’y installe avec son régiment de zouaves et fait construire quatre redoutes : à Fouka, Tombourouf, Ben Azzouz et Mokta-Khera.<br/> | |||
La population comptait en 1892 4461 habitants dont la moitié d’européens, en 1960 elle était de 21963 habitants dont seulement 10% d’européens.<br/> | |||
En dehors d’une petite usine de briques et de tuiles la principale ressource provient de l’agriculture : vignobles, vergers et cultures maraîchères. <br/> | |||
Version du 1 novembre 2005 à 16:57
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Située à 38 km au Sud Ouest d’Alger, sur le revers méridional du Sahel, entre la méditerranée (à 6km) et la plaine de la Mitidja l’histoire de Kolea est mouvementée.
Détruite par les conquérants arabes, reconstruite en 1550 par les Maures chassés d’Andalousie, détruite en 1825 par un tremblement de terre et immédiatement reconstruite son nom en arabe veut dite « petit fort ».
Conquise par les français le 25 septembre 1831 elle est érigée en commune de plein exercice par décret du 21 novembre 1851.
En 1838, Lamoricère s’y installe avec son régiment de zouaves et fait construire quatre redoutes : à Fouka, Tombourouf, Ben Azzouz et Mokta-Khera.
La population comptait en 1892 4461 habitants dont la moitié d’européens, en 1960 elle était de 21963 habitants dont seulement 10% d’européens.
En dehors d’une petite usine de briques et de tuiles la principale ressource provient de l’agriculture : vignobles, vergers et cultures maraîchères.
