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De Encyclopédie-de-L'AFN_1830-1962
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|commandements=


|anteriorite= En Algérie, la Légion se mobilise, sur les nouveaux parachutistes à former, le DCLE, Dépôt commun de la Légion étrangère que les légionnaires appellent "le petit dépôt" intervient dès lors dans la distribution de notes de services appelant au volontariat des légionnaires pour être les parachutistes demandés. Les légionnaires répondant à l'appel de tous les régiments étrangers affluent dès la première journée, le succès ainsi obtenu n'en finira pas...
|anteriorite=  
C'est à la fin de la seconde guerre mondiale, que la Légion étrangère adopte l'idée de faire de ces légionnaires; des parachutistes, pour cela il faut des volontaires. Ces volontaires nous les verrons quelque temps après alors que l'Indochine est en guerre et que des effectifs légion sont sur place.
Ce sera le 3eme REI, qui sous le commandement du lieutenant Morin apportera les éléments volontaires d'une première compagnie. Les premiers parachutistes légionnaires issus simplement de d'hommes, légionnaires et volontaires sans connaissance du ciel, sans brevêt et dont les premiers entraînements n'ont été que sommaires, occasionnant chutes, entorses et parfois la perte du légionnaire.
Les candidats volontaires sont dirigés vers Khamesis, situé à une dizaine de kilometres de Sidi-Bel-Abbes, où pour la première fois, le Groupement d'Instruction Parachutiste, les y reçoit. Les T.A.P à la demande de la Légion vont fournir les éléments formateurs, tant officiers que sous-officiers, pour encadrer les légionnaires et en faire de vrais parachutistes.


|creation=
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|arrivee-algerie= 8 février 1955,  date où il rejoindra l'Algérie.
|arrivee-algerie=8 février 1955,  date où il rejoindra l'Algérie.  
Le 1er B.E.P totalise 5 citations à l'ordre de l'armée,ce qui lui vaut la fourragère aux couleurs jaune et vert de la Médaille militaire.


|implantation=
|implantation=
|composition= Au 1er juillet ce sera pas moins de 350 hommes de tous rangs qui se rangeront sous la protection de St.Michel "le saint patron des parachutistes".
 
|composition=Au 1er juillet ce sera pas moins de 350 hommes de tous rangs qui se rangeront sous la protection de St.Michel "le saint patron des parachutistes".
350 officiers, sous-officiers et légionnaires parachutistes d'abord sous la protection de leur chef, et célèbre capitaine Segrétain, secondé d'un fidèle adjoint, et capitaine, le non moins célèbre Jeanpierre constitueront le fameux 1er Bataillon étranger de parachutistes, le "1er BEP".
350 officiers, sous-officiers et légionnaires parachutistes d'abord sous la protection de leur chef, et célèbre capitaine Segrétain, secondé d'un fidèle adjoint, et capitaine, le non moins célèbre Jeanpierre constitueront le fameux 1er Bataillon étranger de parachutistes, le "1er BEP".


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|actions=La vague de légionnaires volontaires déferle sur le terrtoire français d'Algérie, les centres d'entraînement au saut voient le jour, et ce sera le numero 1 de Philippeville qui décernera les premiers brevets parachutistes après 1 mois de formation, d'entraînement, la journée et de sauts aux petits matins.
L'effectif aplifié,  jugé satisfaisant après trois mois d'un entraînement intensif, embarque sur le Pasteur en rade de Mers-el-Kébir, le 24 octobre 1948 en direction de l'Indochine. Tandis que les parachutistes quittent cette terre d'Algérie pour rejoindre leurs frères d'armes au combat, au Maroc, après une inscription massive d'autres volontaires à Fez, un deuxieme bataillon prend naissance à Sétif, le 2eme BEP, qui sera envoyé après instruction et formation le 12 novembre 1948 en Indochine.
Les dures lois de la guerre font que les paras naissent, mais aussi meurent, et rien ne doit briser cette chaîne faites de braves, chaîne qui sera sans cesse reconsolidée, ressoudée avec les éléments d'une compagnie du 3eme REI, le 1er juin 1949.
Avec la naissance de ces deux premiers bataillons de parachutistes, c'est le début de la fière et glorieuse épopée des légionnaires du ciel.
17 septembre 1950, l'objectif est That Ké.
Sur la R.C 4, le repli est ordonné, il faut protéger les arrières.
Dans les calcaires de Coc-xa, le 1er B.E.P va livrer une bataille héroïque, l'acharnement sera tel, que l'effectif subira une perte importante,parmi les malheureux restés sur le sol,
 
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|dissolution=Le 31 décembre 1950,  le régiment est dissous.


|remarques1= En Algérie, la Légion se mobilise, sur les nouveaux parachutistes à former, le DCLE, Dépôt commun de la Légion étrangère que les légionnaires appellent "le petit dépôt" intervient dès lors dans la distribution de notes de services appelant au volontariat des légionnaires pour être les parachutistes demandés. Les légionnaires répondant à l'appel de tous les régiments étrangers affluent dès la première journée, le succès ainsi obtenu n'en finira pas...
La vague de légionnaires volontaires déferle sur le terrtoire français d'Algérie, les centres d'entraînement au saut voient le jour, et ce sera le numero 1 de Philippeville qui décernera les premiers brevets parachutistes après 1 mois de formation, d'entraînement, la journée et de sauts aux petits matins.
C'est à la fin de la seconde guerre mondiale, que la Légion étrangère adopte l'idée de faire de ces légionnaires; des parachutistes, pour cela il faut des volontaires. Ces volontaires nous les verrons quelque temps après alors que l'Indochine est en guerre et que des effectifs légion sont sur place.
Les premiers parachutistes légionnaires issus simplement de d'hommes, légionnaires et volontaires sans connaissance du ciel, sans brevêt et dont les premiers entraînements n'ont été que sommaires, occasionnant chutes, entorses et parfois la perte du légionnaire.
Les candidats volontaires sont dirigés vers Khamesis, situé à une dizaine de kilometres de Sidi-Bel-Abbes, où pour la première fois, le Groupement d'Instruction Parachutiste, les y reçoit. Les T.A.P à la demande de la Légion vont fournir les éléments formateurs, tant officiers que sous-officiers, pour encadrer les légionnaires et en faire de vrais parachutistes.
L'effectif amplifié,  jugé satisfaisant après trois mois d'un entraînement intensif, embarque sur le Pasteur en rade de Mers-el-Kébir, le 24 octobre 1948 en direction de l'Indochine. Tandis que les parachutistes quittent cette terre d'Algérie pour rejoindre leurs frères d'armes au combat, au Viet-Nam.


|fin=L'appellation de 1er R.E.P lui est remise le 1er septembre 1955.
|remarques2=19 mai 1954, le régiment est reconstitué et restera sur le terrain.
De nouveau, il est reconstitué l'année suivante, le 1er mars.


|remarques1= Le 31 décembre 1950,  le régiment est dissous. De nouveau, il est reconstitué l'année suivante, le 1er mars.
|fin=
21 novembre 1953, c'est Dien Bien Phu, parachutés sur la cuvette,ils engagent une bataille gigantesque, contre les viets,
ce qui leur coûtera 575 parachutistes tués dont certains, disparus.


|remarques2=Entre le 1er avril et le 13 mai, le 1er B.E.P ajoute à sa liste de tués,les Lieutenants Dumont, Boisbouvier, et de Stabenrath.
Le 30 mars, le Sergent-Chef Grimaud est tué également.
Une fois de plus, les légionnaires se sont battus, au détriment de leur vie, leur sacrifice portera un coup à l'effectif des hommes du 1er B.E.P.
19 mai 1954, le régiment est reconstitué et restera sur le terrain
|carte=
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Dernière version du 21 décembre 2007 à 11:27

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1erBataillon Etranger de Parachutistes

Origine :

1e_BEP_DOM.jpg

Création :
Arrivée en Algérie : 8 février 1955, date où il rejoindra l'Algérie.
Implantation :
Actions/missions : Composition : Au 1er juillet ce sera pas moins de 350 hommes de tous rangs qui se rangeront sous la protection de St.Michel "le saint patron des parachutistes".

350 officiers, sous-officiers et légionnaires parachutistes d'abord sous la protection de leur chef, et célèbre capitaine Segrétain, secondé d'un fidèle adjoint, et capitaine, le non moins célèbre Jeanpierre constitueront le fameux 1er Bataillon étranger de parachutistes, le "1er BEP".

Commandements :
Dissolution :
En Algérie, la Légion se mobilise, sur les nouveaux parachutistes à former, le DCLE, Dépôt commun de la Légion étrangère que les légionnaires appellent "le petit dépôt" intervient dès lors dans la distribution de notes de services appelant au volontariat des légionnaires pour être les parachutistes demandés. Les légionnaires répondant à l'appel de tous les régiments étrangers affluent dès la première journée, le succès ainsi obtenu n'en finira pas...

La vague de légionnaires volontaires déferle sur le terrtoire français d'Algérie, les centres d'entraînement au saut voient le jour, et ce sera le numero 1 de Philippeville qui décernera les premiers brevets parachutistes après 1 mois de formation, d'entraînement, la journée et de sauts aux petits matins. C'est à la fin de la seconde guerre mondiale, que la Légion étrangère adopte l'idée de faire de ces légionnaires; des parachutistes, pour cela il faut des volontaires. Ces volontaires nous les verrons quelque temps après alors que l'Indochine est en guerre et que des effectifs légion sont sur place. Les premiers parachutistes légionnaires issus simplement de d'hommes, légionnaires et volontaires sans connaissance du ciel, sans brevêt et dont les premiers entraînements n'ont été que sommaires, occasionnant chutes, entorses et parfois la perte du légionnaire. Les candidats volontaires sont dirigés vers Khamesis, situé à une dizaine de kilometres de Sidi-Bel-Abbes, où pour la première fois, le Groupement d'Instruction Parachutiste, les y reçoit. Les T.A.P à la demande de la Légion vont fournir les éléments formateurs, tant officiers que sous-officiers, pour encadrer les légionnaires et en faire de vrais parachutistes. L'effectif amplifié, jugé satisfaisant après trois mois d'un entraînement intensif, embarque sur le Pasteur en rade de Mers-el-Kébir, le 24 octobre 1948 en direction de l'Indochine. Tandis que les parachutistes quittent cette terre d'Algérie pour rejoindre leurs frères d'armes au combat, au Viet-Nam.

19 mai 1954, le régiment est reconstitué et restera sur le terrain.

De nouveau, il est reconstitué l'année suivante, le 1er mars.