ALGERIE POLITIQUE - Histoire de l'OAS

De Encyclopédie-de-L'AFN_1830-1962
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Cet article s'inspire du livre de Pascal GAUCHON et Patrick BUISSON : l'OAS.

On peut remonter au 6 Juin 1956. Ce jour là ALGER descend dans la rue pour exprimer son désespoir au Président du Conseil, Guy MOLLET, qui manifestement avait l'intention d'abandonner l'Algérie. Les Français d'Algérie prennent conscience alors que le pire peut arriver, c'est à dire l'Exode, et aussi, qu'ils représentent une force qui peut faire basculer le destin.

Février 1957 : l'attentat au bazooka contre le général SALAN (mort du commandant RODIER). Parmi les personnes arrétées : TRONCY, KOVACS, CASTILLE, FECHOZ, DELLAMONICA, ORTIZ, LAURATOUR, CALLE, WATTIN, RIZZA, etc.... des noms que l’on retrouvera plus tard dans l’OAS. Ces contre-terroristes reconnaitront au total 14 attentats. Cette affaire eut un enterrement de 1ère classe. Sur ordre du garde des sceaux, François Mitterrand, le procureur général d’Alger est dessaisi du dossier au profit de la justice militaire. Les prévenus seront libérés discrètement et le seul en fuite sera condamné par coutumace.

Guy MOLLET cède mais la même situation se reproduit le 13 Mai 1958 où Pierre PFLIMLIN est appelé à gouverner la France et ne cache pas son sentiment d'abandonner l'Algérie. Ce 13 Mai, à nouveau, ALGER fait plier le gouvernement et la 5ème République vacillera devant l'ampleur du mouvement.

Le Général De Gaulle accède au pouvoir grace au soulèvement de l'ALGERIE mais dans les mois qui vont suivre les Pieds Noirs et l'Armée vont découvrir les ambiguités de la pensée Gaullienne. Dans les diverses mémoires qui ont parues depuis on peut lire que l'Algérie était un "boulet" pour le général De Gaulle et cela contrariait ses desseins d'une politique de "grandeur" pour la France. Pendant 4 ans beaucoup de gens vont mourrir pour une cause perdue, sans le savoir.

Ces ambiguités vont progressivement conduire à l'affrontement entre De Gaulle et les partisans de l'Algérie Française.

- Le 11 Novembre 1958, Joseph ORTIZ, sentant le début de la fin, crée le FNF (Front National Français), une organisation para-militaire se basant sur les UT (Unités Territoriales, unités militaires composées de Pieds Noirs). Il sera entouré du Docteur PEREZ, Marcel RONDA (Industriel), LAQUIERE (Avocat), Jean Jacques SUSINI (étudiant), SAPIN-LIGNIERES, . Cette organisation militante conduira MASSU à considérer ORTIZ comme l'interlocuteur de la Résistance Française et le Commandant NAVARRO servira d'agent de liaison entre les 2 hommes.

- Le 16 Septembre 1959, De Gaulle abat une partie des cartes en prévoyant un référendum d'autodétermination, remettant en cause l'intégrité du territoire Français qu'était l'Algérie.

- Le limogeage du général MASSU provoque le 24 Janvier 1960 une situation insurectionnelle à ALGER qu'on appelera la semaine des BARRICADES. Une réunion le 23 Avril chez le capitaine ROUY réunira le général FAURE, le colonel ARGOUD, le colonel GARDES, ORTIZ. Ils décideront le scénario insurectionnel qui débouchera sur la fusillade (20 morts, 47 blessés) et les Barricades de la rue Michelet. L'Armée hésitera à braver De Gaulle (Challe y croit encore) et la centaine d'hommes qui s'étaient retranchés devront se rendre.

- Le 14 juin 1960 est crée le FAF (Front de l'Algérie Française) sur l'initiative de Jean Brune, Seguin, Tabarot, Pierre BRUNO et Dominique ZATTARA. Le FAF fédère toutes les tendances de l'Algérie Française. Il sera présidé par le Bachaga BOUALEM, entouré de 5 députés IOUALALENE, OAULI, LARADJI, CASSOU et PORTOLANO.

- Le 30 Octobre 1960, le général SALAN qui s'était installé à ALGER, est expulsé et choisit de s'exiler en Espagne.

- Le 9 décembre 1960 le général De GAULLE fait un voyage provocateur en Algérie. Jean MORIN via la SAU de BELCOURT (capitaine Jean BERNHARDT) fait descendre les musulmans aux cris de "Vive De Gaulle". C'est l'embrasement des manifestations françaises et musulmanes qui se termineront dans un bain de sang. Le mal est fait. Les musulmans ont définitivement compris que la France abadonne l'Algérie.

- Le FAF est dissous et l'OAS est crée officiellement le 10 février 1961 lors d'une réunion en ESPAGNE entre SALAN et LAGAILLARDE. .

- 31 Mars 1961, bombe OAS au domicile du Maire d’EVIAN, qui est tué.

- Le PUTSCH d'Alger le 24 Avril 1961. Challe se refuse à utiliser la force et se rend au bout de 4 jours. L'échec du Putsch condamne l'Algérie. C'est évident mais c'est tellement tragique (pour ceux qui ont cru que la France devait rester en Algérie) que le désespoir amène la création de l'OAS, dernier et ultime combat pour conserver l'Algérie à la France. Dans les semaines qui suivent les vagues d'épuration se succèdent, le contingent étant appelé à dénoncer les officiers "Algérie Française".

De Gaulle accélère les négociations avec le FLN et pendant ce temps l'OAS s'organise.

A la tête de l'OAS on trouve : SALAN, JOUHAUD, GARDY, GODARD, PEREZ, DEGUELDRE, SUSINI, LEROY, GARDES.

SUSINI fera un peu bande à part, boudé par ses collègues. Il montera son propre réseau (les commandos "Z" avec Michel LEROY, René VILLARS, ZAGAMME et le lieutenant DELHOMME). LAGAILLARDE s'est exilé en Espagne ainsi que le colonel ARGOUT. Le capitaine SERGENT estime quand à lui que le combat décisif est en métropole et s'installe dans la région parisienne.


- 19 Mai 1961, 19 plasticages à ALGER.

- 31 Mai 1961, assassinat par l’OAS du commissaire GAVOURY à Alger.

- 5 Aout 1961, 1ère émission pirate télévisée de l’OAS.

- 21 Aout 1961, 1ère édition pirate de journaux par l’OAS.

- Dès sa naissance, l’OAS est infiltrée par les dénommés Barthélémy Rossello, André Palaccio et PASANI, qui ont le temps de faire des dégâts avant d’être démasqués et abattus.

- 7 Septembre 1961, arrestation de Maurice GINGEMBRE par le colonel DEBROSSE. La saisie de multiples documents entraine l’arrestation du colonel DE BLIGNERES, des généraux VANUXEM et CREVECOEUR, etc....

- Vendredi 8 septembre 1961 : Attentat de Pont sur Seine contre De Gaulle. Arrestation "par hasard" de Villemandy qui fait des aveux complets. Arrestation de ROUVIERE, BARBANCE, MANOURY, BELVISI, de la PRADE. Seul le chef n’est pas démasqué, un certain "Germain" qui pourrait être Bastien-Thierry....

- 20 septembre 1961 : la taupe "Benoit" fait ses offres de services à Alexandre Sanguinetti moyennant finances. Il sévira penadant plusieurs anéées sans se faire démasquer et provoquera le démantèlement des réseaux OAS métropolitaine.

- 22 Septembre 1961, première grande soirée de concert "casseroles" à Alger.

- 30 Septembre 1961, assassinat à Alger par l’OAS du commissaire GOLDENBERG.

- 2 Octobre 1961, l’OAS "liquide" le "milieu" truand d’ALGER soupçonné de collaboration avec le MPC.

- 31 Octobre 1961, assassinat par l’OAS à Alger du commissaire PELLISSIER.

- 10 Novembre 1961, assassinat à Alger par l’OAS du commissaire JOUBERT.

- 12 Novembre 1961, un scout car de la gendarmerie mobile est attaqué par l’OAS rue Michelet en plein centre d’Alger : 4 gendarmes mobiles tués.


- Le 12 novembre 1961 à minuit les les BARBOUZES déclenchent les hostilités. Une centaine d’hommes sont lâchés dans la ville pour infiltrer les réseaux OAS et couvrir les murs d’affiches. S’ajoute une campagne d’intoxication des médias qui reproduisent et diffusent les communiqués du MPC incitant les Européens à se démarquer de l’OAS.

- 20 Novembre 1961, l’OAS assassine à Alger LEVY William, dirigeant SFIO.

- 20 novembre nouvelle tactique des barbouzes : le plasticage d’endroits fréquentés par les européens en faisant croire que c’est l’OAS qui a frappé, afin de désorienter la population Française. Les 20 et 21 novembre 1961, cinq commandos en voiture font sauter l’Otomatic, le Tantonville et le Cheval Blanc. Deux jours plus tard, le Joinville, le Coq Hardi et le Viaduc sautent à leur tour. Dégâts considérables, surtout sur le plan psychologique. Tous ces établissements étaient très fréquentés par les Européens.

- 22 Novembre, nuit bleue à Paris : 22 plasticages par l’OAS.

- 6 Décembre 1961, le Conseil des Ministres dissout l’OAS.

- 12 décembre 1961, première opération d’envergure menée par les commandos Deltas. Une villa située à La Redoute, rue Séverine, où habitent des responsables "barbouzes", BITTERLIN, GOULAY et autres... est attaquée.

- 14 Décembre 1961, l’OAS fait sauter dans le port d’Alger le navire qui servait de relais radio aux Autorités.

- 16 Décembre 1961, le colonel RANSON, chef de la Sécurité Militaire (2ème bureau) à ORAN est tué pour sa collusion avec les "barbouzes".

- Le 22 décembre Claude VEILLARD, "barbouze et gorille" du vice président du conseil général d’Alger fait sauter le restaurant " Le grand Rocher " repaire de l’OAS. Douze morts sont ramassés dans les décombres.

- Le 24 décembre au soir, quatre Vietnamiens enlevaient, square Bresson, Paul SINTES, le fils du patron du Café des Consulats et sa fiancée Angèle. Leurs corps seront retrouvés par les gendarmes sur la plage de Castiglione. Tués tous deux d’une balle dans la nuque, la jeune fille elle, a été violée et empalée ; elle a eu les ongles arrachés et la pointe des seins coupée au rasoir...".Ils avaient tous deux vingt ans.

- Nuit du 30 au 31 décembre 1961, Marcel HONGROIS dynamite un café rendez vous de l’OAS et des domiciles de ses représentants.

- 31 décembre 1961, attaque au bazooka du repaire "barbouzes" de la rue Faidherbe par six commandos deltas. Après le décrochage des deltas, le sous brigadier François PAOLI est tué par les "barbouzes" qui le confondent avec un renfort OAS. Quatorze morts et deux blessés coté barbouzes qui ne déclareront qu’un seul blessé.

- 1er janvier 1962 Michel MASSENET, adjoint de Degueldre, est tué à main nu par un vietnamien.

- 3 Janvier 1962, accrochage meurtrier entre le FLN et l’OAS à ORAN : 19 morts.

- 4 Janvier 1962, attaque du siège du parti communiste à Paris par l’OAS.

- 8 Janvier 1962, le colonel CHATEAU JOBERT prend le commandement de la zone OAS Constantinoise.

- 12 janvier 1962 Michel LIEVIN des commandos delta est capturé puis torturé par les vietnamiens d’ALCHEIK.

- 18 Janvier 1962, nuit bleue à Paris : 17 plasticages OAS.

- 19 Janvier 1962, l’OAS élimine 2 de ses membres importants (LEROY et SARRADET) qui étaient entrés en contact avec "l’ennemi" en vue de créer un partionnement de l’Algérie.

- 22 Janvier 1962, plasticage du QUAI d’ORSAY par l’OAS à Paris.

- Le 23 janvier 1962 nouvelle mission ordonnée par le ministre de l’intérieur : Détruire l’émetteur pirate de l’OAS Alger. José SALORD est enlevé et torturé ainsi que Albert CORONAL qui sera supplicié pendant plusieurs heures.

- Le 24 janvier 1962, les barbouzes enlèvent pour l’interroger (ou pour faire du chantage sur son père) le fils du commandant des territoriaux des barricades, SAPIN-LIGNERE.

- Fin janvier 1962 : arrestation de Marcel BOUYER et de son réseau : GEVAUDAN, BARBERA, VILAR, CASTILLE.....

- Le 27 janvier 1962 Henri VINENT est capturé et atrocement torturé dans la cave de la villa "Andréa". Le chef des tortionnaires est un vietnamien, répondant au nom de "SUNGSUNG". Il porte une carte de la Sûreté Nationale numéro 804.

- 28 Janvier 1962, Alexandre TISLENKOFF, technicien radio des émissions pirates est à son tour kidnappé. Il est torturé vingt quatre heures durant. Malgré ces traitements inhumains, TISLENKOFF résiste à ses bourreaux. On lui arrache les ongles, puis un œil.. Il a été sauvé après l’explosion de la villa Andrea. Il est décédé en France d’un arret cardiaque bien des années plus tard. Un de ses collaborateurs est également intercepté. Il sera achevé d’une balle dans la nuque et enterré dans le jardin. La plainte déposée contre Pierre LEMARCHAND par TISLENKOFF, le 17 février 1966 n’aboutit pas plus même si une enquête fut ordonnée. Il a écrit en 1966 un livre intitulé "j’accuse LEMARCHAND" qui n’a jamais recu l’autorisation de publication.

- 29 Janvier 1962 : Des déménageurs BEDEL avaient livré deux caisses lourdes et volumineuses au siège des Barbouzes. Enorme explosion et champignon de fumée au-dessus des hauts d’Alger. 180 kilos d’explosifs plus quelques grenades défensives détruisent la villa Andréa. Bilan : dix-neuf barbouzes calcinées. Parmi les rares survivants, trois prisonniers, dont deux membres de l’OAS, qui ont été torturés dans la cave et que l’arrivée de l’imprimerie a sauvé de justesse. Il s’agit de Henri VINENT, aide-radio, d’Alexandre TISLENKOFF, responsable ses émissions Pirates de l’OAS, et d’un chef de chantier Jacques GOSSELIN. Un commandant de la gendarmerie mobile s’opposa à leur exécution sommaire par Christian DAVID "le beau serge".

- 7 Février 1962, le capitaine LE PIVAIN, de l’OAS, est tué par les gendarmes mobiles, probablement sur renseignements.

- 12 février 1962, des barbouzes s’installent à l’hôtel "RADJAH".

- 13 Février 1962, un commando Delta mitraille le nouveau repaire. Les barbouzes ripostent : quatre Deltas sont tués.

- 14 Février 1962, violents combats entre commandos OAS et Gendarmes Mobiles à Alger et Oran.

- le 15 février 1962, à partir de 6 h 30, Roger DEGUELDRE vient en personne et en force, avec half-tracks lance-roquettes et mitrailleuses. Nombreuses victimes parmi les "Barbouzes". Les blessés "barbouzes" seront "attendus" aux abords de l’hopital maillot, mitraillés et achevés par la foule.

- 18 février 1962, deux pilotes OAS mitraillent et bombarde les camps FLN à OUJDA au MAROC avec des avions T6.

- 27 Février 1962, la caserne de la gendarmerie mobile de Maison Carrée est attaquée au bazooka par l’OAS. Les stocks d’essence et de munitions explosent.

- le 27 février 1962, des "barbouzes" dont plusieurs Vietnamiens, firent irruption dans les locaux du service du personnel des Usines Berliet à Rouiba, brandissant des cartes de police et ils emmenent l’ingénieur PETITJEAN soupçonné à tort d’appartenance à l’OAS. Il sera torturé et retrouvé près d’Orléansville coupé en morceaux. Reconnu peu après par des témoins, arrêté, l’un des assassins est relâché par le procureur de la République, à cause d’une erreur de nom.


- 2 Mars 1962, l’OAS pénètre dans les prisons d’Alger et d’Oran et "liquide" les prisonniers FLN.

- 5 Mars 1962, nuit "bleue" à Alger, 130 explosions de plastic.

- Le 7 mars 1962 Roger Frey donne l’ordre à Jean MORIN de mettre fin aux activités des "barbouzes" du MPC et de rapatrier discrètement en métropole les survivants. C’est donc la fin officielle des "Barbouzes" . Le coût financier sera de l’ordre d’1 milliard et demi d’ancien francs, le bilan humain de 100 barbouzes tués (la moitié de l’effectif) et 200 cents morts ou disparus coté OAS. Les barbouzes tués seront ensevelis sans tambours ni trompettes aux cimetières de Sainteny et de Champigny au hasard des places disponibles. Il est probable que quelques éléments restèrent en Algérie après cette date.

- 10 Mars 1962, Une camionnette piégée explose à Issy-les-Moulinaux, trois morts, nombreux blessés. Le gouvernement s’empresse de mettre cet attentat au compte de l’OAS qui dément et accuse les barbouzes gaullistes de provocation. Trois individus sont arrêtés le 31 mars, mais immédiatement remis en liberté, le ministère de l’intérieur refusant de confirmer un fait connu de tous les journalistes qui faisaient les commissariats. Ces trois hommes ont ensuite disparu de toute procédure, et aucun suspect ne sera arrêté ni interrogé à ce sujet.

- Une auto piégée explosera aussi dans la cour du ministère des affaires étrangères, un mort et 33 blessés. L’O.A.S. est accusée par les médias mais à ce jour, on sait que c’est à la demande du premier ministre DEBRE que MELNIK a monté cette action avec ses hommes de main. Il le raconte en détail dans son livre "1000 jours à MATIGNON".

- Le 19 Mars 1962, l'OAS est arrivée à l'apogée de sa puissance grâce à la neutralité bienveillante de l'Armée. Les accords d'EVIAN ayant été signés, il n'y a plus rien à perdre et SALAN ordonne la guerre totale. Dans les différentes décisions prises certaines vont se révéler néfastes: La création des maquis qui auront une vie éphémère et surtout l'ordre de désarmer les unités de l'armée qui pénètreraient dans Bab El Oued.

- 20 mars 1962 : Siège de Bab el Oued

- 26 Mars 1962 : le massacre de la rue d'ISLY


PAS FINI EN COURS


- Mai 1962 : Arrestation de "CANAL", responsable OAS Métropole.

- Mai 1962 : Opération "CHAMOIS" destinée à tuer De Gaulle dans le LIMOUSIN : arrestation du commando venu spécialement d’Alger (BLANCHY, SLIEBODA, ....)

- 12 juin 1962 : démantèlement du réseau Est qui voulait tuer De Gaulle à VESOUL.

- 22 aout 1962 : attentat du Petit Clamart, 3ème essai semble-t-il de Bastien-Thierry. Le réseau est démantelé suite à un coup de téléphone anonyme.

- 14 février 1963 : arrestation du commando qui voulait tuer De Gaulle à l’école militaire.

- 20 février 1963 : démantèlement du commando de Gilles BUSCIA (20 personnes arrétées). Gilles BUSCIA s’évadera de Fresnes.

- 26 février 1963 : enlèvement du colonel ARGOUD en Allemagne.

- Juillet 1963 : démantèlement de l’imprimerie de l’OAS.

- 23 novembre 1963 : arrestation de CURRUTCHET à Dakar et transfert à Paris.

- 20 janvier 1964 : neutralisation d’un commando du MCR (colonel Chateau-Jobert) dans la région d’Orléans : Michel NAUD + 6 autres personnes.

- Février 1964 : démantèlement d’un réseau du capitaine SERGENT.

- Novembre 1965 : L’arrestaion de Gilles BUSCIA sonne le glas des opérations militaires de l’OAS.