BIGEARD Marcel

De Encyclopédie-de-L'AFN_1830-1962
Révision datée du 22 janvier 2008 à 23:26 par Coat (discussion | contributions) (d°)
Travaux.png

Cet article est en chantier, son contenu pourra évoluer profondément. Vous pouvez le compléter (éditer) ou le commenter (discussion) - En cliquant sur 'historique' vous verrez et pourrez contacter les auteurs! Attention vous devez être Connecté donc Enregistré !

travaux.png
Un rédacteur intervient en ce moment sur cet article. Pour limiter les risques de conflit de versions merci de ne pas l'éditer ! jusqu'à disparition de cet avertissement. constructionA.gif


Back.pngRevenir

Marcel BIGEARD

m_bigeard.png


Titre : '

Grade :Général (Indicatif "Bruno")


Date de Naissance : 14 février 1916

Lieu de Naissance : Toul

Pays de Naissance : France (Meurthe et Moselle)


Date de décès :

Lieu de décès :

Pays de décès :


Présentation :
Faits marquants :

Il a fait du 6e Bataillon de Parachutistes Coloniaux et du 3e Régiment de Parachutistes Coloniaux des unités d'élite à son image. Il a fait sien le mot de Calonne : "Si c'est possible, c'est Fait ; impossible, cela se fera". Sa devise "Croire et Oser".

Dates importantes :
Contexte :

  • Marcel Maurice Bigeard, fils d’un employé des chemins de fer, est né à Toul le 14 février 1916. Son état physique ne le destinait pas à être ce qu’il est devenu par la suite au moment de la déclaration de la Seconde Guerre Mondiale. Chargé d’écritures en tant que comptable dans une succursale de la Société Générale à Toul, il est appelé afin d’effectuer son service militaire en tant que 2e Classe en 1936 pour terminer une carrière militaire avec le grade de Général de Corps d’Armée en 1976. Officier sorti du rang, il fait partie des personnalités militaires les plus décorées de France.
  • En 1939, nommé Sergent, il est mobilisé lors de l’entrée en guerre de la France contre l’Allemagne nazie et intègre les équipages du 79e Régiment de Forteresse dans un sous-secteur de la Ligne Maginot vers Hoffen, région fortifiée de la Lauter avec ses ouvrages du Four à Chaux, de Hochwald et Shoenenbourg. Faisant preuve de qualité, il est rapidement nommé Adjudant dans un groupe de corps francs et de protection. Les Allemands n’ayant pu réussir à ne prendre que quelques petits ouvrages dépourvus d’artillerie, un armistice est signé le 24 juin 1940 à 18h40 et les conditions sont de remettre, sur ordre du gouvernement français, aux autorités militaires allemandes les ouvrages de défense fortifiées "avec les plans" de ceux-ci. Les équipages qui pour la plupart invaincus, sont considérés comme prisonniers de guerre, et ce n’est pas sans amertume que Marcel Bigeard prend le chemin d’une captivité en Allemagne le 30 juin. Fait prisonnier, il réussit à s’évader et rejoint l’Afrique et les Troupes Coloniales où il sera nommé Sous Lieutenant.
(à suivre)