« Découvertes archéologiques » : différence entre les versions

De Encyclopédie-de-L'AFN_1830-1962
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===ALGERIE===
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  Note pour le Rédacteur : on ne détaille pas un fait ou un lieu dans un plan, il faut créer une page en
  observant les règles de nommage. Contactez un Sysop pour apprendre comment faire !
LAMBESE : Village du département de Batna, aujourd’hui Tazoult.  (Ruines de), : À l’époque où le 1er régiment étranger édifie la ville de Sidi bel-Abbès, en 1848, le colonel Carbuccia et ses soldats du 2e RE découvrent et sortent de ses ruines, la ville de Lambèse, ancienne capitale militaire de la Numidie, dans laquelle la légion romaine Augusta Vengeresse a séjourné.  
LAMBESE : Village du département de Batna, aujourd’hui Tazoult.  (Ruines de), : À l’époque où le 1er régiment étranger édifie la ville de Sidi bel-Abbès, en 1848, le colonel Carbuccia et ses soldats du 2e RE découvrent et sortent de ses ruines, la ville de Lambèse, ancienne capitale militaire de la Numidie, dans laquelle la légion romaine Augusta Vengeresse a séjourné.  



Dernière version du 28 novembre 2005 à 22:41

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LISTE des SITES archéologiques inventés en Afrique du NORD

ALGERIE

 Note pour le Rédacteur : on ne détaille pas un fait ou un lieu dans un plan, il faut créer une page en
 observant les règles de nommage. Contactez un Sysop pour apprendre comment faire !

LAMBESE : Village du département de Batna, aujourd’hui Tazoult. (Ruines de), : À l’époque où le 1er régiment étranger édifie la ville de Sidi bel-Abbès, en 1848, le colonel Carbuccia et ses soldats du 2e RE découvrent et sortent de ses ruines, la ville de Lambèse, ancienne capitale militaire de la Numidie, dans laquelle la légion romaine Augusta Vengeresse a séjourné.

Le sous-officier Staeffen en établit le relevé. Sur une stèle, Carbuccia fait inscrire : « Le colonel Carbuccia, de la 2e Légion étrangère, à son collègue de la 3e Légion romaine ». Le 22 août 1851, Carbuccia déclare à l’académie des Belles Lettres : « ce travail est l’œuvre du régiment tout entier ; c’est à ce corps qu’en revient le mérite. Le simple soldat a coopéré, comme les officiers, au résultat commun.

En arrivant au bivouac, souvent après des marches forcées, il prenait la pioche et consacrait aux fouilles son temps de repos ». En 1955, la 6e compagnie portée du 2/3e REI remplace la 4e compagnie.

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