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La sœur Marie-Thérèse Brau, 74 ans, a passé sa vie à venir en aide aux populations les plus pauvres d'Algérie.  
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*L' Express Algérie '''Une sœur pour les déshérités''' Par notre correspondante Baya Gacemi, mis à jour le 12/06/2008
*L' Express Algérie '''Une sœur pour les déshérités''' Par notre correspondante Baya Gacemi, mis à jour le 12/06/2008
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La sœur Marie-Thérèse Brau, 74 ans, a passé sa vie à venir en aide aux populations les plus pauvres d'Algérie.

L'œil vif et le verbe rapide, elle est née il y a soixante-quatorze ans tout près de là, à Hussein-Dey, dans une maison où ses parents s'étaient installés en 1932. « Toute petite, confie la sœur, j'ai découvert les familles arabes. Ma mère, soignait les enfants de Oued Ouchayah, le bidonville à côté de chez nous... Je n'ai jamais envisagé de partir. Mon père et ma mère sont enterrés ici. »

En 1957, alors que la police coloniale pourchasse les « Chrétiens progressistes », coupables d'aider le FLN, elle refuse de suivre le conseil de ses amis qui la pressent de gagner la métropole. En 1960, elle adhère à l'association Entraide populaire familiale, créée par des Français favorables à l'indépendance de l'Algérie, dans le sillage du Secours populaire et du Secours catholique. Elle y est encore aujourd'hui. « Au début, on s'occupait surtout d'alphabétiser les petites filles. On disait à leurs pères qu'elles faisaient de la couture et on leur faisait passer le certificat d'études. »

...

Les problèmes que connaissent depuis peu les chrétiens d'Algérie l'attristent. « J'ai connu ce pays si tolérant et ouvert aux autres. Après la barbarie terroriste, avec ces affaires, les Algériens vont encore se faire mal voir. Et c'est cela qui me fait le plus de peine. »

  • L' Express Algérie Une sœur pour les déshérités Par notre correspondante Baya Gacemi, mis à jour le 12/06/2008