« Traité de la Tafna » : différence entre les versions

De Encyclopédie-de-L'AFN_1830-1962
Aucun résumé des modifications
Aucun résumé des modifications
Ligne 2 : Ligne 2 :


<ret>Retour</ret>
<ret>Retour</ret>
TAFNA (Traité de la), : Traité signé le 30 mai 1837 par Abd el-Kader et le général Bugeaud, sur les rives de la Tafna, reconnaissant la souveraineté de la France.


'''TRAITE DE LA TAFNA'''
Abd el-Kader est reconnu souverain sur les deux tiers de l’Algérie.


Le 20 mai 1837 entre BUGEAUD et ABDELKADER;
La France ne conserve dans l’Oranie qu’Oran, Arsew, Mostaganem et Mazagran ; dans l’Algérois, qu’Alger, le Sahel et la Mitidja, avec l’oued Khad’ra comme limite orientale.


La France conserve Alger, Oran, Mostaganem, Mazagran et leur banlieue; autour d'Alger, le Sahel et la Mitidja "bornée à l'Est jusqu'à l'oued Keddara et au delà". Tout le reste est abandonné à l'émir soit les deux tiers de l'Algérie.
Il est rompu en 1839 par les deux parties, avec la prise de Constantine de 1837 par les Français et par l’Emir en représailles.


NB : le texte arabe ne correspondait pas au texte français !
Tout le reste est abandonné à l'émir soit les deux tiers de l'Algérie.
 
NB : La France est flouée car son représentant ne se donne pas la peine de faire traduire par un spécialiste, le texte arabe qui ne correspond pas au texte français !




[[catégorie:ALGERIE]]
[[catégorie:ALGERIE]]
[[catégorie:HISTOIRE]]
[[catégorie:HISTOIRE]]

Version du 28 novembre 2005 à 14:25


<ret>Retour</ret> TAFNA (Traité de la), : Traité signé le 30 mai 1837 par Abd el-Kader et le général Bugeaud, sur les rives de la Tafna, reconnaissant la souveraineté de la France.

Abd el-Kader est reconnu souverain sur les deux tiers de l’Algérie.

La France ne conserve dans l’Oranie qu’Oran, Arsew, Mostaganem et Mazagran ; dans l’Algérois, qu’Alger, le Sahel et la Mitidja, avec l’oued Khad’ra comme limite orientale.

Il est rompu en 1839 par les deux parties, avec la prise de Constantine de 1837 par les Français et par l’Emir en représailles.

Tout le reste est abandonné à l'émir soit les deux tiers de l'Algérie.

NB : La France est flouée car son représentant ne se donne pas la peine de faire traduire par un spécialiste, le texte arabe qui ne correspond pas au texte français !