Discussion:HARKIS - Histoire
--Coat 7 mars 2008 à 16:41 (CET) Bon ! Pas grave Marino. Je verrai cela lorsque je serai arrivé au chapitre concernant Artillerie d'Afrique et Harkis. Il n'y a rien de choquant mais des prises de position orientées qui me semblent hors réalité. Je n'ai pas étudié à fond mais lu la page qu'en "Oblique".
Rep: *--Marino 7 mars 2008 à 16:32 (CET) Je n'ai pas tout à fait compris ce qui choque dans l' Ajout (la liste du personnel n'est pas de moi et je n'y connais rien) Pour cet Ajout la source est d'Hérodote- Il faut éffacer ce qui n'est pas vrai.
--Coat 7 mars 2008 à 13:34 (CET) Bien entendu, ils étaient à nos côtés lors d'opérations d'infanterie et nous en avons vu certains, anciens des FFL mettre en position des tubes et servir des pièces aussi bien que nous.
--Coat 7 mars 2008 à 13:29 (CET) Attention Marino, il y a du vrai mais il y a des affirmations qui ne sont pas tout à fait ça ! Dans le domaine de l'Armée, il vaudrait mieux demander des avis. Les Harkis comme les Unités Territoriales avaient des statuts, si l'on peu dire... à part, et mis à part ceux qui les ont cottoyé, il est difficile d'en parler ! Par exemple le personnel des SAS ou celui des GMPR étaient bien définis. Les harkis étaient employés comme étant du personnel local payé à la tâche par notre sous/of trésorier comme les journaliers que nous employons à des tâches diverses, terrassements pour afuts de canons, manipulation et rangement d'obus lourds, construction de pistes et de postes et les miens étaient payés en fin de semaine par notre sous/off payeur ce qui me faisait râler car dès lors, certains rentraient chez eux, ils avaient eu assez pour se payer une chèvre, un mouton, un bourricot... une ou une seconde ou troisième femme ! Malgré tout, ils n'étaient pas tous comme ça comme l'un d'entre eux qui avait eu comme maîtresse son chef de Katiba, s'était fait prendre par lui, avait échappé mais l'épouse avait été retrouvée dans un état épouvantable. L'interprête m'avait assuré qu'il ne pouvait plus nous trahir mais je n'ai jamais eu confiance en lui car c'était un vrai tueur. D'autres sont devenus comme "Mes Copains", mais disparus. J'avais confiance en eux puisque je peux m'exprimer aujourd'hui ; fidèles, ils avaient confiance en moi. Je ne sais pas ce qu'ils sont devenus. J'en parlerai dans mon texte sur l'Artillerie d'Afrique en cours de rédaction.