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C'était le | C'était le « Commando de chasse 44 » basé à Aïn sennour, petit village à 825 m d'altitude au point culminant de la voie ferrée Laverdur-Souk-Ahras. À 6km de cette première station, après le tunnel sous le col Fedj Makta et la gorge en colimaçon toute boisée de chênes zéens et à 10 km de Souk-Ahras. | ||
A quelques kilomètres de la frontière tunisienne, ces reliefs montagneux tourmentés s'étalaient au Sud de la zone stratégique dite | A quelques kilomètres de la frontière tunisienne, ces reliefs montagneux tourmentés s'étalaient au Sud de la zone stratégique dite « bec de canard » particulièrement soumise à la pression des Katibas [[FLN|F.L.N]] stationnée en [[TUNISIE|TUNISIE]] | ||
Tout particulièrement sollicité, le Commando 44 avait la rude tache, de faire barrage aux infiltrations ennemies et aux armes qu'elles tentaient d'introduire en [[ALGERIE|ALGERIE]], mais aussi aux replis des forces F.L.N qui battaient en retraite. | Tout particulièrement sollicité, le Commando 44 avait la rude tache, de faire barrage aux infiltrations ennemies et aux armes qu'elles tentaient d'introduire en [[ALGERIE|ALGERIE]], mais aussi aux replis des forces F.L.N qui battaient en retraite. | ||
Cette unité combattante, constituée d'appelés et de Harkis sérieusement encadrée par des chefs de métiers expérimentés et de qualité, | Cette unité combattante, constituée d'appelés et de Harkis sérieusement encadrée par des chefs de métiers expérimentés et de qualité, mérite son titre combattante en ce qu'elle affrontait journellement l'ennemi. | ||
Les Harkis du Commando 44, venus pour près de 50% du F.L.N ou ayant pour la plupart un proche dans cette organisation terroriste se fondront dans la belle image de ces soldats musulmans engagés aux côté de la France par amour et fidélité, comme l'avaient fait avant eux leur père et leur grand-père sur tous les champs de bataille, mais aussi dans les Aurès et les Nementchas dès 1954. | Les Harkis du Commando 44, venus pour près de 50% du F.L.N ou ayant pour la plupart un proche dans cette organisation terroriste se fondront dans la belle image de ces soldats musulmans engagés aux côté de la France par amour et fidélité, comme l'avaient fait avant eux leur père et leur grand-père sur tous les champs de bataille, mais aussi dans les Aurès et les Nementchas dès 1954. | ||
Tous, Tirailleurs, Moghaznis, Harkis paieront un lourd tribut pour leur fidélité à la France qui après les avoir désarmés, les livrera avec leurs enfants et leurs familles à leurs assassins du F.L.N et à ses ''combattants de la 25ème heure'' | Tous, Tirailleurs, Moghaznis, Harkis paieront un lourd tribut pour leur fidélité à la France qui après les avoir désarmés, les livrera avec leurs enfants et leurs familles à leurs assassins du F.L.N et à ses ''combattants de la 25ème heure'' qu'ils avaient vaincus sur le terrain et qui leur infligeront les plus horribles tortures et humiliations avant de leur donner la mort dans les pires souffrances. | ||
*Extrait partiel de la Revue P.N.H.A n° 167 Octobre 2008 | *Extrait partiel de la Revue P.N.H.A n° 167 Octobre 2008 | ||
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ALGERIE |
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Présence française
1830 - 1962 ALGERIE
Commando de Chasse 44
C'était le « Commando de chasse 44 » basé à Aïn sennour, petit village à 825 m d'altitude au point culminant de la voie ferrée Laverdur-Souk-Ahras. À 6km de cette première station, après le tunnel sous le col Fedj Makta et la gorge en colimaçon toute boisée de chênes zéens et à 10 km de Souk-Ahras.
A quelques kilomètres de la frontière tunisienne, ces reliefs montagneux tourmentés s'étalaient au Sud de la zone stratégique dite « bec de canard » particulièrement soumise à la pression des Katibas F.L.N stationnée en TUNISIE
Tout particulièrement sollicité, le Commando 44 avait la rude tache, de faire barrage aux infiltrations ennemies et aux armes qu'elles tentaient d'introduire en ALGERIE, mais aussi aux replis des forces F.L.N qui battaient en retraite.
Cette unité combattante, constituée d'appelés et de Harkis sérieusement encadrée par des chefs de métiers expérimentés et de qualité, mérite son titre combattante en ce qu'elle affrontait journellement l'ennemi.
Les Harkis du Commando 44, venus pour près de 50% du F.L.N ou ayant pour la plupart un proche dans cette organisation terroriste se fondront dans la belle image de ces soldats musulmans engagés aux côté de la France par amour et fidélité, comme l'avaient fait avant eux leur père et leur grand-père sur tous les champs de bataille, mais aussi dans les Aurès et les Nementchas dès 1954.
Tous, Tirailleurs, Moghaznis, Harkis paieront un lourd tribut pour leur fidélité à la France qui après les avoir désarmés, les livrera avec leurs enfants et leurs familles à leurs assassins du F.L.N et à ses combattants de la 25ème heure qu'ils avaient vaincus sur le terrain et qui leur infligeront les plus horribles tortures et humiliations avant de leur donner la mort dans les pires souffrances.
- Extrait partiel de la Revue P.N.H.A n° 167 Octobre 2008