« SID CARA » : différence entre les versions
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Réfugié en métropole après l’indépendance de l’Algérie, il complète ses connaissances médicales à la faculté de Marseille et y obtient entre 1967 et 1970 des certificats de médecine du travail, de médecine légale et de réparation juridique de préjudices corporels. | Réfugié en métropole après l’indépendance de l’Algérie, il complète ses connaissances médicales à la faculté de Marseille et y obtient entre 1967 et 1970 des certificats de médecine du travail, de médecine légale et de réparation juridique de préjudices corporels. | ||
Officier de la Légion d’Honneur, le docteur Sid Cara meurt le 6 mars 1999 à Grenoble. Hommage lui est rendu par le Sénat dans sa séance du 9 mars 1999 sous la présidence du maire de Marseille, Jean-Claude Gaudin. Le docteur Sid Cara était le frère de Nafissa Sid Cara, décédée le 1er janvier 2002, qui fut secrétaire d’état auprès du premier ministre (Michel Debré) de janvier 1959 à avril 1962, chargée des questions sociales en Algérie et de l’évolution du statut personnel de droit musulman. | Officier de la Légion d’Honneur, le docteur Sid Cara meurt le 6 mars 1999 à Grenoble. Hommage lui est rendu par le Sénat dans sa séance du 9 mars 1999 sous la présidence du maire de Marseille, Jean-Claude Gaudin. Le docteur Sid Cara était le frère de Nafissa Sid Cara, décédée le 1er janvier 2002, qui fut secrétaire d’état auprès du premier ministre (Michel Debré) de janvier 1959 à avril 1962, chargée des questions sociales en Algérie et de l’évolution du statut personnel de droit musulman. | ||
[[Image:Docteur_Sid_Cara_Mai_1958_Oran.jpg|left|thumb|150px|<center>Docteur Sid Cara Oran 1958</center>]] | |||
Cherif Sid Cara, en tant que coprésident du comité de salut public d’Algérie et du Sahara a des relations suivies avec le général Salan, commandant supérieur interarmées en Algérie, puis, à partir du 9 juin 1958, délégué général du gouvernement en Algérie et commandant en chef des forces en Algérie. | |||
Le 24 avril 1961, alors que les généraux Challe, Zeller, Jouhaud et Salan ont pris le pouvoir à Alger vingt conseillers généraux du département d’Oran publient un communiqué, signé par leur président, le docteur Sid Cara. | |||
Ils « saluent avec ferveur l’aube d’une Algérie définitivement française, gage évident d’une fraternité réelle… », | |||
«… présentent l’hommage profondément ému de leur reconnaissance à l’armée française et à ses chefs dont ils se déclarent totalement solidaires… » | |||
Le 21 mai 1962, le docteur Sid Cara témoigne en faveur du général Salan lors de son procès devant le Haut Tribunal Militaire ; il y souligne son dévouement pour les Musulmans et son refus de toute ambition politique. | |||
Dernière version du 30 décembre 2007 à 14:11
Chérif SID CARA |
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Grade :Officier Légion d'Honneur | |||||||||
Date de Naissance : 26 Novembre 1902 Lieu de Naissance : MILA (Constantine) Pays de Naissance : Algérie Date de décès : 6 Mars 1999 Lieu de décès : GRENOBLE Pays de décès : France | |||||||||
Présentation :
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Faits marquants : | Dates importantes :
MAI 1958, président du CSP d'Algérie | ||||||||
Contexte :
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