« Histoires Meknès - Ville » : différence entre les versions
De Encyclopédie-de-L'AFN_1830-1962
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Mes parrains, Joseph (Pepe) et Lucrecia Saez, tenaient un grand salon de coiffure-pédicure Hommes-Dames, près du Marché central, au 41 avenue avenue Mèzergues. J'ai donc été à plusieurs reprises faire des séjours dans cette belle ville moderne qui dominait la ville indigène très développée. Au cours d'une de ces visites, j'ai été invité avec eux en médina, au domicile d'une grande famille juive qui | Mes parrains, Joseph (Pepe) et Lucrecia Saez, tenaient un grand salon de coiffure-pédicure Hommes-Dames, près du Marché central, au 41 avenue avenue Mèzergues. J'ai donc été à plusieurs reprises faire des séjours dans cette belle ville moderne qui dominait la ville indigène très développée. Au cours d'une de ces visites, j'ai été invité avec eux en médina, au domicile d'une grande famille juive qui fêtait la Pâque juive. Un souvenir inoubliable. | ||
Version du 11 août 2012 à 16:46
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Raymond Gimilio
Mes parrains, Joseph (Pepe) et Lucrecia Saez, tenaient un grand salon de coiffure-pédicure Hommes-Dames, près du Marché central, au 41 avenue avenue Mèzergues. J'ai donc été à plusieurs reprises faire des séjours dans cette belle ville moderne qui dominait la ville indigène très développée. Au cours d'une de ces visites, j'ai été invité avec eux en médina, au domicile d'une grande famille juive qui fêtait la Pâque juive. Un souvenir inoubliable.
