« Historique Baba Hassen - Ville » : différence entre les versions
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En plein Sahel, à 11 kilomètres au Sud est d’Alger et de la baie de Sidi Ferruch, encadré par les villages de Draria (3km NE), Saoula ( 5km Est), Crescia (2 km SE) , Sainte Amélie et Saint Ferdinand (6km Ouest) le Village a été créé le 12 mai 1843 par décision du gouvernement de l’Algérie et prend le nom de Baba Hassen en souvenir de Ben Hassen, un célèbre marabout inhumé sur les lieux . | |||
Initialement rattaché à Douéra distant de 5 kilomètres, Baba Hassen devient une commune de plein exercice en 1875 et jusqu’à 1962 ou elle sera rattachée à Draria. | |||
Avant dernière commune en superficie de toute l’Algérie française, | |||
son territoire de 1048 hectares, est concédé à des colons Alsaciens Lorrains renforcés un peu plus tard par des Mahonnais, réputés pour leurs connaissances agricoles et leur ardeur au travail. | |||
En 1893 la population comptait 206 français et 319 étrangers, agriculteurs pour la plupart, qui cultivaient le blé, l’avoine et l’orge sur les 2/3 du territoire et la vigne sur le 1/3 restant. | |||
Version du 13 janvier 2006 à 18:41
En plein Sahel, à 11 kilomètres au Sud est d’Alger et de la baie de Sidi Ferruch, encadré par les villages de Draria (3km NE), Saoula ( 5km Est), Crescia (2 km SE) , Sainte Amélie et Saint Ferdinand (6km Ouest) le Village a été créé le 12 mai 1843 par décision du gouvernement de l’Algérie et prend le nom de Baba Hassen en souvenir de Ben Hassen, un célèbre marabout inhumé sur les lieux .
Initialement rattaché à Douéra distant de 5 kilomètres, Baba Hassen devient une commune de plein exercice en 1875 et jusqu’à 1962 ou elle sera rattachée à Draria.
Avant dernière commune en superficie de toute l’Algérie française, son territoire de 1048 hectares, est concédé à des colons Alsaciens Lorrains renforcés un peu plus tard par des Mahonnais, réputés pour leurs connaissances agricoles et leur ardeur au travail.
En 1893 la population comptait 206 français et 319 étrangers, agriculteurs pour la plupart, qui cultivaient le blé, l’avoine et l’orge sur les 2/3 du territoire et la vigne sur le 1/3 restant.
