« Muller - supplique » : différence entre les versions
Aucun résumé des modifications |
Aucun résumé des modifications |
||
| Ligne 5 : | Ligne 5 : | ||
}} | }} | ||
Lors de la construction de la ligne de [[CHEMIN_DE_FER|chemin de fer]] de [[Ménerville_-_Ville|Ménerville]] à [[Setif - Ville|Sétif]], Pierre Muller fut confronté à un problème de taille, | Lors de la construction de la ligne de [[CHEMIN_DE_FER|chemin de fer]] de [[Ménerville_-_Ville|Ménerville]] à [[Setif - Ville|Sétif]], Pierre Muller fut confronté à un problème de taille. La voie passant à 20 mètres de la route nationale 5, saucissonait un peu plus son terrain. | ||
Pour tout compliquer, cette parcelle en forme de triangle était bordée par un oued à l'ouest et un ravin à l'est. | |||
<center>{{URL}}h/av/bordjbouarreridj/plan_muller.jpg</center> | <center>{{URL}}h/av/bordjbouarreridj/plan_muller.jpg</center> | ||
Mais pour franchir un oued ou un ravin il faut un pont et Pierre Muller constata que la voie serait en remblais sur son terrain. Il s'inquiêta auprès des responsables des travaux pour savoir si un passage était prévu pour l'accès au reste de sa propriété mais les plans ne prévoyaient rien et ils continuèrent leurs travaux au grand désespoir de Pierre Muller qui vit s'élever un véritable mur infranchissable de six à 10 mètres de hauteur. | |||
<center>{{URL}}h/av/bordjbouarreridj/ingénieur.jpg</center> | |||
En désespoir de cause, Pierre Muller envoya une supplique au Gouverneur Général. | |||
<center>{{URL}}h/av/bordjbouarreridj/petition.jpg</center> | <center>{{URL}}h/av/bordjbouarreridj/petition.jpg</center> | ||
Version du 23 septembre 2005 à 08:02
Lors de la construction de la ligne de chemin de fer de Ménerville à Sétif, Pierre Muller fut confronté à un problème de taille. La voie passant à 20 mètres de la route nationale 5, saucissonait un peu plus son terrain.
Pour tout compliquer, cette parcelle en forme de triangle était bordée par un oued à l'ouest et un ravin à l'est.
Mais pour franchir un oued ou un ravin il faut un pont et Pierre Muller constata que la voie serait en remblais sur son terrain. Il s'inquiêta auprès des responsables des travaux pour savoir si un passage était prévu pour l'accès au reste de sa propriété mais les plans ne prévoyaient rien et ils continuèrent leurs travaux au grand désespoir de Pierre Muller qui vit s'élever un véritable mur infranchissable de six à 10 mètres de hauteur.
En désespoir de cause, Pierre Muller envoya une supplique au Gouverneur Général.
