« Historique Berrouaghia - Ville » : différence entre les versions
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Petit bourg romain appelé Thanaramusa (ou Tirinadi ?) occupant une position stratégique sur une route frontière, le site devient une ferme forteresse sous la domination Ottomane puis, au moment de la conquête française, un camp de spahis.<br/> | |||
Ce n’est que le 3 mars 1860 qu’un décret impérial créé le centre de colonisation de Berrrouaghia.<br/> | |||
A 928 mètres d’altitude, sur la chaine de l’Atlas Tellien, dans une cuvette bordée à l’Est par la chaîne des Bibans et à l’Ouest par l’Ouarsenis Berrouaghia est alimentée par deux importants oueds, le Chélif à l’Ouest et l’Oued Issser à l’Est.<br/> | |||
Battue par les vents, Berrouaghia subit le Siroco du sud toute l’année, les assauts du froid et de la neige en hiver, et reçoit une brise légèrement iodée en été. <br/> | |||
Version du 4 décembre 2005 à 18:43
« Le village des asphodèles »
Petit bourg romain appelé Thanaramusa (ou Tirinadi ?) occupant une position stratégique sur une route frontière, le site devient une ferme forteresse sous la domination Ottomane puis, au moment de la conquête française, un camp de spahis.
Ce n’est que le 3 mars 1860 qu’un décret impérial créé le centre de colonisation de Berrrouaghia.
A 928 mètres d’altitude, sur la chaine de l’Atlas Tellien, dans une cuvette bordée à l’Est par la chaîne des Bibans et à l’Ouest par l’Ouarsenis Berrouaghia est alimentée par deux importants oueds, le Chélif à l’Ouest et l’Oued Issser à l’Est.
Battue par les vents, Berrouaghia subit le Siroco du sud toute l’année, les assauts du froid et de la neige en hiver, et reçoit une brise légèrement iodée en été.
