« DOVECAR Albert Epilogue » : différence entre les versions
m (liens bio) |
m (Lien 1eREP) |
||
Ligne 58 : | Ligne 58 : | ||
Le lendemain de l'exécution du Sergent Albert Dovecar, tous les officiers de la Légion Etrangère, ayant participé à la messe célébrée, en mémoire du Sergent de la Légion, sont interrogés au poste de police, sur les ordres de De Gaulle qui interdit les prières, fussent-elles privées, de "ses condamnés à mort". | Le lendemain de l'exécution du Sergent Albert Dovecar, tous les officiers de la Légion Etrangère, ayant participé à la messe célébrée, en mémoire du Sergent de la Légion, sont interrogés au poste de police, sur les ordres de De Gaulle qui interdit les prières, fussent-elles privées, de "ses condamnés à mort". | ||
Le '''Colonel Brothier''' d'abord Chef de corps du 1er Etranger à [[Sidi Bel Abbès - Ville|Sidi Bel Abbès]], puis Commandant du | Le '''Colonel Brothier''' d'abord Chef de corps du 1er Etranger à [[Sidi Bel Abbès - Ville|Sidi Bel Abbès]], puis Commandant du [[1eREP|1erREP]], fût le témoin en faveur des trois légionnaires, sa bonté envers les condamnés, ne sera pas épargnée, il sera sanctionné, affecté à poste de commandement territorial de St Brieuc, après avoir quitté son poste de la base-école des troupes aéroportées de Paris. | ||
}} | }} |
Dernière version du 21 janvier 2008 à 18:36
<ret>Revenir</ret> | ||||||
|
DOVECAR Albert Epilogue
|
|
A l’issue des quatre jours de débats, le Sergent Dovecar est condamné à mort ainsi que Claude PIEGTS pour l’assassinat du Commissaire Central d’Alger Gavoury. Albert Dovecar quitte la prison de la Santé pour être transférer à Fresnes. Pendant ce temps, sa mère assistée de la mère de Claude Piegts, entâment un combat sans égal contre le Général de Gaulle. Les 2 femmes investiront aussi les ministères, en quête, toutes deux de la grâce de leur enfant. "Cette bonne femme m'ennuie!" Ceci n'empêchera la même "bonne femme" de récidiver, il rétorquera: "Qu'elle aille le voir à Fresnes, et que je n'en entende plus parler" Karoline a gagné, mais elle ne pourra serrer pour la dernière fois son fils, elle ne pourra lui parler qu'à travers le grillage du parloir! Le 7 Juin 1962, le Sergent DOVECAR est réveillé à 2 h 30 du matin. A 4 h 12, il est fusillé au fort militaire du Trou d’enfer avec son compagnon Claude PIEGTS.
Le lendemain de l'exécution du Sergent Albert Dovecar, tous les officiers de la Légion Etrangère, ayant participé à la messe célébrée, en mémoire du Sergent de la Légion, sont interrogés au poste de police, sur les ordres de De Gaulle qui interdit les prières, fussent-elles privées, de "ses condamnés à mort". Le Colonel Brothier d'abord Chef de corps du 1er Etranger à Sidi Bel Abbès, puis Commandant du 1erREP, fût le témoin en faveur des trois légionnaires, sa bonté envers les condamnés, ne sera pas épargnée, il sera sanctionné, affecté à poste de commandement territorial de St Brieuc, après avoir quitté son poste de la base-école des troupes aéroportées de Paris. |