DOVECAR Albert Période O.A.S.
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DOVECAR Albert Période O.A.S.
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Les premières actions ponctuelles sont exécutées. Si l’opération a été bien montée et réalisée, ses suites seront désastreuses. Un des membres du commando, un légionnaire allemand, désobéissant aux ordres de DOVECAR, quitte le groupe et se rend en centre ville à ALGER où dans un bar , la boisson aidant , dévoile toute l’affaire et le nom des participants. Divers renseignements parviennent aux services de lutte contre l’O.A.S. Le commando est repéré dans une villa sur les hauteurs d’ALGER. Alors que DOVECAR est absent de la maison, celle–ci est entourée et prise d’assaut par les Gendarmes-Mobiles. Albert DOVECAR se retrouve seul, traqué , isolé dans Alger. Tous les jours DOVECAR est en contact avec son Chef DEGUELDRE. « Là où il y a DELTA, il y a BOBBY » Encore et toujours des missions en cet été 1961. Le 11 Octobre 1961, le commando est repéré. L’immeuble du 19 Rue Michel Duclos est encerclé, le quartier est bouclé. Un jeune membre du commando, civil , se réfugie sur les toits. Les légionnaires s’échappent par le bas de l’immeuble. Certains parviennent à s’enfuir en bénéficiant de la complicité des employés de la Compagnie des Compteurs dont le siège se situe au rez-de- chaussée de l’immeuble... Pour d’autres c’est impossible. Albert DOVECAR malgré son état de fatigue, ses cheveux et sa moustache qu’il a laissés pousser, une blouse grise qu’il a endossé , est reconnu par un commissaire de police qui le braque avec son arme. C’est fini… |